Haïti : Coke en stock
Le 15 mars dernier, lAssociated Press rapportait la découverte à Miami de 100 kilos de cocaïne, valeur évaluée à 1,8 million de dollars, dans la citerne sanitaire dun cargo, le M/V ANICIA. Le navire avait quitté les Gonaïves le 10 mars et était arrivé, cales vides, à Miami le 13 mars. Les huit hommes déquipage (cinq Haïtiens, deux Nicaraguayens et un Guyanais) ont été retournés dans leurs pays respectifs. Gonaïves était alors depuis plus dun mois contrôlée par les «rebelles».
Vendredi 9 avril, lagence Reuters nous apprend la saisie, toujours à Miami, de 65 kilos de cocaïne sur le cargo Margot arrivé la veille de Cap Haïtien. Cest ce même navire, le Margot, qui était intercepté par la garde côtière des États-Unis le 25 février dernier à une dizaine de miles des côtes de Floride. Le capitaine avait lancé un appel de détresse, disant que des hommes armés sétaient emparés du navire.
Rappelons que Cap Haïtien est maintenant, selon les déclarations officielles, sous contrôle des militaires français du 33ème régiment d'infanterie de marine, mais que jusquau 1er avril, lautorité portuaire était contrôlée par les rebelles, et quelle le serait toujours selon le Miami Herald du dimanche 11 avril. Le major Xavier Pons, porte-parole du contingent militaire français, déclarait au Herald que «les institutions recommençaient à fonctionner normalement.»
Vendredi 9 avril, lagence Reuters nous apprend la saisie, toujours à Miami, de 65 kilos de cocaïne sur le cargo Margot arrivé la veille de Cap Haïtien. Cest ce même navire, le Margot, qui était intercepté par la garde côtière des États-Unis le 25 février dernier à une dizaine de miles des côtes de Floride. Le capitaine avait lancé un appel de détresse, disant que des hommes armés sétaient emparés du navire.
Rappelons que Cap Haïtien est maintenant, selon les déclarations officielles, sous contrôle des militaires français du 33ème régiment d'infanterie de marine, mais que jusquau 1er avril, lautorité portuaire était contrôlée par les rebelles, et quelle le serait toujours selon le Miami Herald du dimanche 11 avril. Le major Xavier Pons, porte-parole du contingent militaire français, déclarait au Herald que «les institutions recommençaient à fonctionner normalement.»
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